Vos films Rock favoris

LE film Rock'n'Roll : outre le côté hautement drôle et délirant, on sent les références, le vécu.
Inoubliables : Stonehenge, les amplis qui vont jusqu'à 11, le lead guitar mégalo, la copine insupportable, les batteurs qui disparaissent mystérieusement, le come back au Japon, etc.



Entre docu et fiction, le gros intérêt du film, c'est bien sûr The Clash en 78/79, en tournée, en studio, et dans une Angleterre agitée par les troubles sociaux et politiques (la montée du nationalisme).


Unique film français, et pour cause : on est loin des rockers à banane et perfecto style JP Kalfon ou Jacques Higelin. "Mona et Moi", c'est la rencontre improbable entre un groupe de losers (ayant comme manager Denis Lavant) et Johnny Thunders qui joue en fait son propre rôle.
Un beau film (avec de l'humour et de la poésie).


Les Beatles avant les Beatles : le film est centré sur Stuart Sutcliffe (Stephen Dorff), le premier bassiste rapidement disparu. On voit les Anglais débarquer à Hambourg et jouer dans des bars à marins.
Un vrai travail a été fait sur la représentation à l'écran des musiciens : le gars qui joue Lennon, c'est vraiment ça (et en +, il a bossé l'accent et la voix nasillarde).


Le Manchester de la fin des 70's jusqu'au Madchester 10 ans après à travers le regard détaché de Tony Wilson (Steve Coogan), le fondateur du label Factory et de l'Hacienda. Musicalement, c'est Joy Division, New Order, A Certain Ratio, Happy Mondays.
A la fois génial et très drôle.


Un biopic réussi sur la vie de Ian Curtis, réalisé par Anton Corbijn qui avait connu Joy Division en tant que photographe.
D'ailleurs, un film en noir et blanc avec une très belle photo.


Un docu impressionnant sur 4 types à la masse qui ne pouvaient pas s'encadrer et qui ont réussi quand même à composer des tonnes de tubes qui n'ont jamais marché !
Surréaliste.


The Clash du début jusqu'à la fin avec les témoignages des protagonistes.
Incontournable (quand on aime le groupe).


La "revanche" de Johnny Rotten/John Lydon après "The Great Rock'n'Roll Swindle", d'ailleurs réalisé par le même metteur en scène, Julian Temple.
A la fin du film, Lydon, filmé dans l'obscurité, chiale en évoquant la mort de son ami Sid Vicious.


Effectivement, filmer Anton Newcombe, c'est autre chose que suivre la tournée de Cali ou de Second Sex.
L'intérêt du film, c'est évidemment la personnalité, euh, particulière du leader des B.J.M.
Un champion de l'autodestruction... Et c'est ça qui est drôle !


Délirant, à tous points de vue. Les moyens du groupe (la scène du casting, quand le futur bassiste est dans une pièce où se trouvent 500 guitares et basses , propriété du groupe), la tronche de Trujillo quand, embauché, Lars Ulrich lui annonce qu'il va déjà recevoir 1 000 000 de $ sur son compte bancaire, "comme ça", le psychothérapeuthe payé cher pour ramener l'harmonie dans le groupe, Dave Mustaine, ex-Merallica, qui chiale en parlant de sa frustration...


Belle fiction se passant au début des 70's : un ado fasciné par le Rock suit un groupe prometteur, Stillwater (qui fait penser à Free), en tournée ; cette tournée sera aussi pour lui une initiation à la vie.
Scène très drôle où les musiciens, pensant se crasher avec l'avion, se confessent : "Je me suis tapé ta femme", "J'ai piqué dans la caisse", etc. et le batteur :"Je, je suis... GAY !".


Très bel hommage de Scorsese sur le Dylan des années 61 à 66.

En fait, mes films préférés sont tous "rock".

Sinon, c'est vrai que Almost Famouse est très chouette (c'est blau_up qui m'en a parlé). J'ai le dvd et donc la version longue. On s'attache vite à ce monde.

Le film est pas mal, à condition de le voir avant de lire le bouquin. Beaucoup de détails et d'anecdotes ne résistent pas au passage au format comédie, plus synthétique. Et un truc m'a fort déplu : l'action, située à Londres chez Nick Hornby, est déplacée à Boston. Quelle manque de goût !

Londres : The Who, The Kinks, The Jam, The Clash...
Boston : Boston.

J'avais lu le livre avant et c'est vrai que pas mal de petites choses ne sont pas à l'écran. Mais bon, c'est valable pour TOUTES les adaptations.

Boston, c'est la culture à l'état pure! Et musicalement, il y a tout le Boston Sound, incontestablement l'une des meilleurs scènes du rock psychédélique.

Tous ces groupes (The Who, The Kinks, The Jam, The Clash) ne me font vraiment pas rêver! Ok, My Generation pour les Who mais pour la suite... The Kinks, j'en suis revenu, mais bon je dis ça aussi des Beatles, des Stones et de Pink Floyd (seul Piper me transporte). The Jam et The Clash, j'ai toujours détesté (à part quelques titres).

personnellement j'ai pas trouvé control terrible

la photo est très belle , mais le scénario est faiblard

vincry a écrit:J'avais lu le livre avant et c'est vrai que pas mal de petites choses ne sont pas à l'écran. Mais bon, c'est valable pour TOUTES les adaptations.

Boston, c'est la culture à l'état pure! Et musicalement, il y a tout le Boston Sound, incontestablement l'une des meilleurs scènes du rock psychédélique.

A propos de Boston, connais-tu le double album "Live at The Rat" ?


http://www.geocities.com/uridfm/l/liveattherat.htm

Y'a un instru génial des INFLIKTORS, "Norkis of the North".